« Grande page blanche sur le plateau vide, l’écran de projection offre sa surface au flux des requêtes en errance dans l’espace des réseaux. Rendre visible, sur scène, ce qui se trame des demandes et des désirs confiés au monde du non lieu, au lieu-dit internet.
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L’écran plat reçoit la partie visible de l’activité des réseaux, appelle un imaginaire de la profondeur que suggère la musique électronique dans ses résonances. Un espace hanté par l’insaisissable de ses limites. »
Josette Sultan, 2008
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